Géobiosphère actuelle et primitive
 
(Une version intermédiaire masquée)
Ligne 1 : Ligne 1 :
<big>''Réaliser que la vie abonde sous la surface de l’écorce terrestre est certainement un des plus grands bouleversements conceptuels de ces dernières années.''</big>
<big>''Réaliser que la vie abonde sous la surface de l’écorce terrestre est certainement un des plus grands bouleversements conceptuels de ces dernières années.''</big>
-
Pour plus de renseignements,[http://w3.ipgp.jussieu.fr/new/pages/020602.php cliquez ici]
+
Pour plus de renseignements,[http://www.ipgp.jussieu.fr/pages/0206.php cliquez ici]
==Présentation==
==Présentation==
Ligne 18 : Ligne 18 :
* Mécanismes géomicrobiologiques d’oxydo-réduction
* Mécanismes géomicrobiologiques d’oxydo-réduction
* Mise au point de techniques d'imagerie microbienne en milieu minéralisé
* Mise au point de techniques d'imagerie microbienne en milieu minéralisé
 +
[[Catégorie:Recherche]]

Version actuelle en date du 17 mars 2006 à 11:42

Réaliser que la vie abonde sous la surface de l’écorce terrestre est certainement un des plus grands bouleversements conceptuels de ces dernières années.

Pour plus de renseignements,cliquez ici

Présentation

Les microorganismes semblent exister partout où se trouve de l’eau liquide et des températures inférieures à 113°C et il n’est plus absurde d’imaginer l’existence d’une biosphère jusqu’à au moins 6 kilomètres de profondeur dans la croûte terrestre. Au-delà, des implications environnementales et sociétales que cela soulève, se pose la question de l’origine de la vie et de l’existence ou non d’une vie primitive se développant sous les surfaces inhospitalières de la jeune Terre (dès 3,8 milliards d’années ?) et de la vieille Mars.

Les problèmes liés à l’étude de la vie microbienne en profondeur sont analogues à ceux de la recherche de témoins biogéniques fossiles dans les roches archéennes (4,0 à 2,5 milliards d'années). Dans les deux cas, il s’agit de s’affranchir de la faiblesse du signal biogénique dans l’environnement minéralisé et de palier aux problèmes de contamination. C’est dans cette logique que le laboratoire de géobiosphère actuelle et primitive a vu le jour au sein de l'IPGP. Nous sommes une dizaine de chercheurs et personnels techniques provenant d'horizons divers et réunis autour d'outils issus à la fois des sciences de la Terre et de la microbiologie.

Thèmes